Comment ce médicament agit-il? Quels sont ses effets?
L'exénatide à libération prolongée appartient à la classe des médicaments appelés agonistes du récepteur du GLP-1 (de glucagon-like peptide-1). On l'utilise seul ou avec d'autres médicaments (par ex. la metformine, le glyburide, le gliclazide ou insuline basale (à action prolongée) ) pour améliorer les taux de glucose (sucre) sanguin chez les personnes atteintes du diabète de type 2. Il agit en facilitant la libération d'insuline par l'organisme pour ainsi maîtriser les taux de glycémie (sucre sanguin).
Ce médicament est disponible sous divers noms de marque ou sous différentes présentations. Une marque spécifique de ce médicament n'est peut-être pas offerte sous toutes les formes ni avoir été approuvée contre toutes les affections dont il est question ici. En outre, certaines formes de ce médicament pourraient ne pas être utilisées contre toutes les affections mentionnées dans cet article.
Il se pourrait que votre médecin ait suggéré ce médicament contre une affection qui ne figure pas dans cet article d'information sur les médicaments. Si vous n'en avez pas encore discuté avec votre médecin, ou si vous avez des doutes sur les raisons pour lesquelles vous prenez ce médicament, consultez-le. Ne cessez pas de prendre ce médicament sans avoir consulté votre médecin au préalable.
Ne donnez ce médicament à personne, même à quelqu'un qui souffre des mêmes symptômes que vous. Ce médicament pourrait nuire aux personnes pour lesquelles il n'a pas été prescrit.
Sous quelles formes ce médicament se présente-t-il?
Chaque stylo injecteur contient un injecteur à cartouche de verre double avec un canal de dérivation et une aiguille pour injection.
- La chambre antérieure de la cartouche de verre contient une poudre blanche à blanc cassé renfermant 2 mg d'exénatide. Ingrédients non médicinaux : poly (D,L-lactide-co-glycolide), saccharose.
- La chambre arrière de la cartouche de verre du stylo injecteur contient suffisamment de diluant pour administrer 0,65 mL après reconstitution. Ingrédients non médicinaux : carboxyméthylcellulose sodique, chlorure de sodium, eau pour injection, heptahydrate de phosphate dibasique de sodium, phosphate monobasique de sodiummonohydraté, polysorbate 20.
Comment doit-on employer ce médicament?
La dose de ce médicament habituellement utilisée par les adultes est de 2 mg de suspension à libération prolongée, injectée de façon sous-cutanée (sous la peau) dans la cuisse, l'abdomen ou la partie supérieure du bras une fois par semaine.
L'exénatide à libération prolongée est utilisé sous la supervision d'un médecin. Vous serez en mesure de vous prévaloir de l'aide de votre médecin ou de votre infirmière quand il s'agira de préparer et d'injecter votre première dose (ou les quelques premières doses) de médicament. N'essayez pas d'auto-injecter ce médicament de votre propre chef avant d'avoir bien compris comment vous devez introduire le médicament dans l'organisme.
Ce médicament est administré au moyen d'un stylo injecteur qui contient une cartouche de verre à 2 compartiments. L'un des compartiments renferme le médicament sous forme de poudre et l'autre contient le diluant qui, lorsqu'on le mélange à la poudre de médicament, crée la suspension qui sera injectée. Lisez le guide de l'utilisateur du stylo pour prendre connaissance des instructions sur la manière correcte d'utiliser ce médicament. Si vous désirez obtenir des éclaircissements sur l'utilisation de ce médicament, communiquez avec votre médecin ou votre pharmacien.
Faites une rotation des points d'injection (bras, cuisses, haut des fesses ou estomac) afin de réduire au minimum l'irritation au point d'injection.
Le diluant est transparent et incolore et ne doit pas contenir de particules. Après son mélange à la poudre de médicament, la suspension sera blanche à blanc cassé et d'aspect trouble. Injectez-vous le médicament immédiatement après avoir mélangé la solution et la poudre.
Plusieurs facteurs peuvent entrer en ligne de compte pour déterminer la dose dont une personne a besoin : son poids, son état de santé et la prise d'autres médicaments. Si votre médecin a recommandé une dose autre que celles indiquées ici, ne modifiez pas la manière d'utiliser le médicament sans le consulter au préalable.
Il est très important que ce médicament soit pris conformément aux indications de votre médecin. Si vous omettez une dose et que moins de 3 jours se sont écoulés depuis votre omission, injectez-la dès que possible. Si plus de 3 jours se sont écoulées depuis votre dose oubliée, ne vous souciez pas de la dose omise et reprenez le schéma posologique usuel. N'utilisez pas une double dose pour compenser l'omission d'une dose. Si vous hésitez sur la conduite à tenir après avoir omis une dose, demandez conseil à votre médecin ou à un pharmacien.
Conservez ce médicament au réfrigérateur, à l'abri de la lumière et hors de la portée des enfants. Ne permettez pas que ce médicament soit congelé. Si nécessaire, vous pouvez conserver votre stylo à la température ambiante pendant une période de temps pouvant aller jusqu'à 4 semaines.
Ne jetez pas de médicaments dans les eaux usées (par ex. pas dans l'évier ni dans la cuvette des cabinets) ni avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien comment vous débarrasser des médicaments inutilisés ou périmés.
Dans quels cas ce médicament est-il déconseillé?
Abstenez-vous d'employer ce médicament dans les circonstances ci-après :
- une allergie à l'exénatide ou à l'un des ingrédients du médicament;
- si vous ou un membre de votre famille êtes atteint d'un cancer médullaire de la thyroïde;
- le syndrome de néoplasie endocrinienne multiple de type 2 (une affection caractérisée par la présence de tumeurs dans plusieurs glandes du corps)
- une insuffisance rénale importante ou en phase terminale.
Quels sont les effets secondaires possibles de ce médicament?
Beaucoup de médicaments peuvent provoquer des effets secondaires. Un effet secondaire est une réponse indésirable à un médicament lorsqu'il est pris à des doses normales. Il peut être léger ou grave, temporaire ou permanent.
Les effets secondaires énumérés ci-après ne sont pas ressentis par toutes les personnes qui prennent ce médicament. Si les effets secondaires vous inquiètent, discutez des risques et des bienfaits de ce médicament avec votre médecin.
Au moins 1 % des personnes prenant ce médicament ont signalé les effets secondaires ci-après. Un grand nombre de ces effets secondaires peuvent être pris en charge et quelques-uns peuvent disparaître d'eux-mêmes avec le temps.
Consultez votre médecin si vous ressentez ces effets secondaires et s'ils sont graves ou gênants. Votre pharmacien pourrait être en mesure de vous donner des conseils sur la conduite à tenir si ces effets secondaires apparaissaient :
- une baisse de l'appétit;
- une constipation;
- de la diarrhée;
- une douleur abdominale;
- une douleur musculaire;
- des douleurs articulaires;
- des éructations;
- une douleur, une enflure, une sensation de brûlure ou une ecchymose (un « bleu ») au point d'injection;
- une éruption cutanée;
- des étourdissements;
- des maux de tête;
- de la nausée;
- une perte de poids;
- des symptômes du rhume;
- une toux;
- des vomissements.
La plupart des effets secondaires figurant ci-après ne surviennent pas très souvent, mais ils pourraient cependant engendrer de graves problèmes si vous ne recevez pas des soins médicaux.
Renseignez-vous auprès de votre médecin au plus tôt si l'un des effets secondaires ci-après se manifeste :
- des signes attribuables à de la déshydratation (par ex. une réduction de la production d'urine, de la sécheresse cutanée, de la sécheresse et de l'empâtement de la bouche, de la somnolence, des étourdissements, des maux de tête, de la soif, de la confusion);
- des signes de problèmes rénaux (par ex. une émission de l'urine accrue la nuit, une diminution de la production d'urine, du sang dans l'urine, une enflure des chevilles ou des pieds);
- des signes d'un désordre de la coagulation (par ex. un saignement du nez inaccoutumé, des ecchymoses, du sang dans l'urine, une toux avec expectoration sanglante, un saignement des gencives, des coupures qui n'arrêtent pas de saigner);
- des symptômes attribuables à un cancer de la thyroïde (par ex. de l'enflure ou une bosse dans le cou, de la difficulté à avaler, de la raucité);
- des symptômes d'un faible taux de sucre sanguin (par ex. une anxiété, une vision trouble, une confusion, une difficulté à se concentrer ou à parler, des étourdissements, une somnolence, des battements de cœur rapides, un sentiment d'agitation, un mal de tête, une sensation de faim, une irritabilité, des nausées, une faiblesse, une nervosité, un engourdissement ou des picotements des lèvres ou de la langue, une transpiration, une fatigue, des tremblements, une faiblesse);
- des symptômes d'un rythme cardiaque anormal (par ex. des étourdissements, des convulsions, un évanouissement ou des battements de cœur rapides ou très forts).
Cessez de prendre le médicament et sollicitez immédiatement des soins médicaux s'il se produit une réponse comme :
- des symptômes de réaction allergique grave (par ex. un urticaire, une difficulté respiratoire, une enflure du visage, de la bouche, de la langue ou de la gorge);
- des symptômes de pancréatite (une inflammation du pancréas) tels qu'une douleur abdominale (mal au ventre) et des vomissements.
Certaines personnes peuvent ressentir des effets secondaires autres que ceux énumérés. Consultez votre médecin si vous remarquez un symptôme qui vous inquiète pendant que vous employez ce médicament.
Existe-t-il d'autres précautions d'emploi ou mises en garde?
Avant d'employer un médicament, ne manquez pas d'informer votre médecin des troubles médicaux ou des allergies que vous pourriez avoir, des médicaments que vous utilisez et de tout autre fait important au sujet de votre santé. Les femmes devraient mentionner si elles sont enceintes ou si elles allaitent. Ces facteurs pourraient avoir une influence sur la façon dont vous devriez employer ce médicament.
Baisse du taux de sucre sanguin (hypoglycémie) : ce médicament peut faire baisser le taux de sucre sanguin quand il est pris en même temps qu'une sulfonylurée (par ex. le glyburide, le gliclazide) ou l'insuline. Si vous prenez l'un de ces types de médicaments, discutez avec votre médecin de la façon dont ce médicament pourrait influer sur votre affection, de l'influence de votre affection sur l'administration et l'efficacité de ce médicament, et de la pertinence d'une surveillance médicale spécifique.
Si vous éprouvez des symptômes d'hypoglycémie tels qu'une sueur froide, une nervosité ou des tremblements, des battements de cœur rapides, un mal de tête, la faim, une confusion, une sensation de tête légère, une faiblesse ou encore un engourdissement et un picotement de la langue ou des lèvres, communiquez avec votre médecin. Dans ces cas, le médecin devra peut-être modifier la dose de votre médicament.
Cancer de la glande thyroïde : on ne sait pas exactement si l'utilisation de ce médicament augmente le risque de contracter certains types de cancers de la glande thyroïde. Si vous-même ou un membre de votre famille avez déjà eu un cancer médullaire de la thyroïde ou un syndrome de néoplasie endocrinienne multiple de type 2 (NEM 2), vous ne devriez pas prendre ce médicament.
Si certains symptômes possiblement attribuables à un cancer de la thyroïde apparaissent chez vous, comme de la difficulté à avaler, de la raucité (une voix rauque), de la difficulté à respirer ou la présence d'une masse dans le cou, consultez votre médecin dès que possible.
Identification diabétique : il est important soit de porter un bracelet (ou un pendentif), soit d'avoir sur vous une carte indiquant que vous avez le diabète et prenez des médicaments pour maîtriser votre taux de sucre sanguin.
Maîtrise du taux de sucre sanguin : la fièvre, les infections, les interventions chirurgicales et les traumatismes peuvent provoquer une perte de la maîtrise de la glycémie et il vous faudra peut-être substituer de l'insuline à votre médicament de façon temporaire, jusqu'à ce que vous ayez récupéré. Si cela devient nécessaire, votre médecin vous en informera.
Si vous subissez fréquemment des pertes de maîtrise de votre glycémie, communiquez avec votre médecin.
Pancréatite (inflammation du pancréas) : l'exénatide à libération prolongée peut causer une pancréatite grave ou pouvant mettre la vie en danger. Si vous avez des symptômes de pancréatite, comme une douleur abdominale intense et persistante qui peut se déplacer vers votre dos et s'accompagner de vomissements, cessez de prendre ce médicament et communiquez avec votre médecin immédiatement ou sollicitez immédiatement des soins médicaux.
Si vous avez déjà eu une pancréatite, des calculs biliaires (des pierres dans la vésicule biliaire) ou des problèmes de consommation d'alcool, discutez avec votre médecin de la façon dont ce médicament pourrait influer sur votre affection, de l'influence de votre affection sur l'administration et l'efficacité de ce médicament, et de la pertinence d'une surveillance médicale spécifique.
Problèmes cardiaques : l'exénatide à libération prolongée peut augmenter votre fréquence cardiaque et modifier la façon dont les impulsions cardiaques se propagent dans le muscle qu'est votre cœur. Si vous avez une affection cardiaque (par ex. une crise cardiaque récente, une angine de poitrine, une insuffisance cardiaque) ou un rythme cardiaque anormal (par ex. un bloc cardiaque ou des battements de cœur rapides), discutez avec votre médecin de la façon dont ce médicament pourrait influer sur votre affection, de l'influence de votre affection sur l'administration et l'efficacité de ce médicament, et de la pertinence d'une surveillance médicale spécifique.
Si vous avez des étourdissements, des palpitations (des battements de cœur rapides, forts ou irréguliers), des évanouissements ou des convulsions, obtenez immédiatement des soins médicaux.
Problèmes d'estomac et d'intestins : l'innocuité et l'efficacité de l'utilisation de ce médicament n'ont pas été établies chez les personnes atteintes de maladies inflammatoires chroniques des intestins (par ex. la maladie de Crohn, la colite ulcéreuse) ni chez celles dont le mouvement des aliments dans les intestins est ralenti à cause du diabète. Si vous avez l'un ou l'autre de ces troubles, n'utilisez pas ce médicament.
Problèmes rénaux : ce médicament peut causer des troubles rénaux. Le médecin surveillera votre fonction rénale à l'aide d'analyses sanguines pendant que vous prenez ce médicament. Si vous avez eu une transplantation rénale ou faites de l'insuffisance rénale, discutez avec votre médecin de la façon dont ce médicament pourrait influer sur votre affection, de l'influence de votre affection sur l'administration et l'efficacité de ce médicament, et de la pertinence d'une surveillance médicale spécifique. Si vous êtes sous dialyse ou avez une insuffisance rénale grave, n'utilisez pas ce médicament.
Saignement : l'exénatide peut provoquer une baisse du nombre de plaquettes dans le sang, ce qui rend les saignements plus difficiles à faire cesser. Si vous remarquez des signes de saignement, comme des saignements de nez fréquents, des ecchymoses inexpliquées, ou des selles noirâtres et goudronneuses, signalez-le à votre médecin au plus tôt.
Grossesse : ce médicament ne devrait pas s'utiliser durant la grossesse à moins que les bienfaits priment les risques. Si vous comptez devenir enceinte, vous devriez cesser de prendre ce médicament au moins 3 mois avant de le devenir. Si une grossesse advient pendant que vous utilisez ce médicament, prenez contact avec votre médecin immédiatement.
Allaitement : on ignore si l'exénatide à libération prolongée est excrété dans le lait maternel. Si vous prenez ce médicament pendant que vous allaitez, votre bébé pourrait en ressentir les effets. Consultez votre médecin pour savoir si vous devriez continuer l'allaitement.
Enfants : ni l'innocuité ni l'efficacité de ce médicament n'a été établie en ce qui concerne les enfants et les adolescents âgés de moins de 18 ans.
Aînés : les aînés peuvent être plus sensibles aux effets de ce médicament, et la probabilité d'effets secondaires est plus élevée dans le cas de ces personnes
D'autres agents peuvent-ils interagir avec ce médicament?
Il pourrait se produire une interaction entre l'exénatide à libération prolongée et l'un des agents ci-après :
- l'acide acétylsalicylique (AAS);
- les antibiotiques de la classe des sulfonamides (« ulfas », par ex. le sulfisoxazole, le sulfaméthoxazole);
- des antibiotiques de la famille des quinolones (par ex. la ciprofloxacine, la norfloxacine, l'ofloxacine);
- les antidiabétiques (par ex. le chlorpropamide, le glyburide, l'insuline, la metformine, le natéglinide, la rosiglitazone);
- les antipsychotiques atypiques (par ex. la clozapine, l'olanzapine, la quétiapine, la rispéridone);
- les bêtabloquants (par ex. le métoprolol, l'aténolol);
- les contraceptifs oraux;
- les corticostéroïdes (par ex. la dexaméthasone, l'hydrocortisone, la prednisone);
- la digoxine;
- le disopyramide;
- les diurétiques (par ex. le furosémide, l'hydrochlorothiazide);
- l'épinéphrine;
- le glucagon;
- les inhibiteurs de la monoamine-oxydase (IMAO; par ex. le moclobémide, la rasagiline, la sélégiline, la tranylcypromine);
- les inhibiteurs de la protéase du VIH (par ex. l'atazanavir, l'indinavir, le ritonavir, le saquinavir);
- les inhibiteurs des canaux calciques (par ex. le vérapamil, le diltiazem);
- les inhibiteurs sélectifs du recaptage de la sérotonine (ISRS, par ex. le citalopram, la duloxétine, la fluoxétine, la paroxétine, la sertraline);
- le lanréotide;
- les médicaments antiviraux servant au traitement de l'hépatite C (par ex. le daclatasvir, le lédipasvir, le paritaprévir, le sofosbuvir);
- la mifépristone;
- la niacine;
- l'octreotide;
- les œstrogènes (par ex. les œstrogènes conjugués, l'œstradiol, l'éthinylœstradiol);
- le pasiréotide;
- le pegvisomant;
- les progestatifs (par ex. le diénogest, le lévonorgestrel, la médroxyprogestérone, la noréthindrone);
- la quinine;
- le sirolimus;
- la somatostatine;
- la somatropine;
- le sunitinib;
- le tacrolimus;
- la testostérone;
- le vorinostat;
- la warfarine;
Si vous prenez l'un de ces médicaments, consultez votre médecin ou un pharmacien. Dans votre cas, votre médecin pourrait vous demander de :
- cesser la prise de l'un des médicaments;
- remplacer l'un des médicaments par un autre;
- modifier la manière dont vous prenez l'un des médicaments, ou les deux;
- ne rien changer du tout.
L'interférence d'un médicament avec un autre n'entraîne pas toujours l'interruption de la prise de l'un d'eux. Demandez à votre médecin quelle est la conduite à tenir en cas d'interactions médicamenteuses.
D'autres médicaments que ceux énumérés précédemment peuvent interagir avec ce médicament. Signalez à votre médecin tout ce que vous prenez, qu'il s'agisse de médicaments sur ordonnance ou en vente libre et de remèdes à base de plantes médicinales. N'oubliez pas de mentionner tout supplément que vous prenez. Si vous consommez de la caféine, de l'alcool, de la nicotine ou des drogues illicites, vous devriez en avertir votre médecin prescripteur puisque ces substances peuvent modifier l'action de nombreux médicaments.
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