Comment ce médicament agit-il? Quels sont ses effets?
Ce produit composite contient 3 médicaments : la codéine, la phéniramine et la guaifénésine.
La codéine appartient au groupe de médicaments appelés narcotiques analgésiques et antitussifs. Elle agit en bloquant les signaux de la douleur qui sont envoyés par le cerveau vers les diverses zones du corps et réduit la toux en agissant sur le cerveau pour enrayer le réflexe de toux.
La phéniramine, un antihistaminique, calme les éternuements et l'écoulement nasal.
La guaifénésine est un expectorant qui fluidifie le mucus pour en faciliter l'expectoration.
Ce médicament s'utilise pour calmer la toux et faciliter l'évacuation du mucus des bronches et de la gorge lorsque d'autres médicaments moins puissants se sont révélés inefficaces.
Il se pourrait que votre médecin ait suggéré ce médicament contre une affection qui ne figure pas dans cet article d'information sur les médicaments. En outre, certaines formes de ce médicament pourraient ne pas être utilisées pour tous les troubles mentionnés dans cet article. Si vous n'en avez pas encore discuté avec votre médecin, ou si vous avez des doutes sur les raisons pour lesquelles vous prenez ce médicament, consultez-le. Ne cessez pas de prendre ce médicament sans avoir consulté votre médecin au préalable.
Ne donnez pas ce médicament à quiconque, même à quelqu'un qui souffre des mêmes symptômes que les vôtres. Ce médicament pourrait nuire aux personnes pour lesquelles il n'a pas été prescrit.
Sous quelles formes ce médicament se présente-t-il?
5 mL de liquide sirupeux orange, transparent, à l'odeur de menthol et à la saveur de cerise contient 100 mg de guaïfénésine, 7,5 mg de maléate de phéniramine et 10 mg de phosphate de codéine. Ingrédients non médicinaux : alcool, couleur et saveur artificielle, caramel, acide citrique, FD&C jaune numéro 6, glycérine, menthol, propylène glycol, eau purifiée, benzoate de sodium, citrate de sodium dihydrate, cyclamate de sodium et sucrose. Alcool : 4,1 % v/v. Sucrose : 45 %.
Comment doit-on employer ce médicament?
Remarque : la toux est un symptôme. Avant de prendre un médicament contre la toux, il est important que la cause sous-jacente de ce symptôme soit évaluée par un médecin.
La dose recommandée pour adultes et adolescents de plus de 12 ans est 10 mL (2 cuillerées à thé) toutes les 4 à 6 heures selon le besoin. Dans tous les cas, ne dépassez pas 6 doses en 24 heures.
Plusieurs facteurs peuvent entrer en ligne de compte pour déterminer la dose dont une personne a besoin : son poids, son état de santé et la prise d'autres médicaments. Si le médecin a recommandé une dose différente de celles indiquées ici, ne modifiez pas la manière de prendre le médicament sans le consulter au préalable.
Si vous prenez des préparations liquides, utilisez une seringue orale pour mesurer chaque dose, car vous obtiendrez une mesure plus juste qu'avec des cuillerées à thé de ménage.
Il est important d'utiliser ce médicament conformément aux indications de votre médecin. Si votre médecin vous a dit de prendre ce médicament régulièrement et que vous oubliez une dose, prenez le médicament dès que vous constatez l'omission et reprenez la suite du traitement aussitôt que possible. S'il est presque temps de votre prochaine dose, ne vous souciez pas de la dose omise et reprenez le schéma posologique usuel. N'utilisez pas une double dose pour compenser l'omission d'une dose. Si vous hésitez sur la conduite à tenir après avoir omis une dose, demandez conseil à votre médecin ou à un pharmacien.
Conservez ce médicament à la température ambiante, à l'abri de la lumière et de l'humidité et hors de la portée des enfants.
Ce médicament est disponible sous divers noms de marque ou sous différentes présentations, ou les deux. Une marque de ce médicament pourrait ne pas être disponible sous toutes les présentations énumérées ici. Vous trouverez les diverses présentations sous lesquelles cette marque particulière est mise à votre disposition dans la section : « Sous quelles formes ce médicament se présente-t-il ? »
Ne jetez pas de médicaments dans les eaux usées (par ex. pas dans l'évier ni dans la cuvette des cabinets) ni avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien comment vous débarrasser des médicaments inutilisés ou périmés.
Dans quels cas ce médicament est-il déconseillé?
L'association médicamenteuse codéine - phéniramine - guaifénésine ne devrait pas s'utiliser dans les circonstances ci-après :
- un âge inférieur à 18 ans;
- l'allaitement au sein;
- une allergie à la codéine, à la phéniramine, à la guaifénésine ou à l'un des ingrédients du médicament;
- une allergie aux narcotiques similaires à la codéine;
- des crises convulsives;
- une grossesse;
- la prise actuelle ou au cours des 2 semaines précédentes d'un inhibiteur de la MAO (par ex. la phénelzine, la tranylcypromine);
- des problèmes respiratoires comme la maladie pulmonaire obstructive chronique ou l'asthme;
- une respiration ralentie et superficielle;
- un risque de blocage intestinal;
- un traumatisme crânien ou une pression accrue à l'intérieur du cerveau ;
- si vous êtes alcoolique ou si vous subissez un sevrage alcoolique.
Quels sont les effets secondaires possibles de ce médicament?
Beaucoup de médicaments peuvent provoquer des effets secondaires. Un effet secondaire est une réponse indésirable à un médicament lorsqu'il est pris à des doses normales. Il peut être léger ou grave, temporaire ou permanent. Les effets secondaires énumérés ci-après ne sont pas ressentis par toutes les personnes qui prennent ce médicament. Si les effets secondaires vous inquiètent, discutez des risques et des bienfaits de ce médicament avec votre médecin.
Au moins 1 % des personnes prenant ce médicament ont signalé les effets secondaires ci-après. Un grand nombre de ces effets secondaires peuvent être pris en charge et quelques-uns peuvent disparaître d'eux-mêmes avec le temps.
Consultez votre médecin si vous ressentez ces effets secondaires et s'ils sont graves ou gênants. Votre pharmacien pourrait être en mesure de vous donner des conseils sur la conduite à tenir si ces effets secondaires apparaissaient :
- un assoupissement;
- une baisse de l'appétit;
- de la constipation;
- des étourdissements;
- de la faiblesse;
- des maux de tête;
- de la nausée;
- une perte d'intérêt envers l'activité sexuelle;
- une sécheresse de la bouche;
- des troubles du sommeil;
- des vomissements.
La plupart des effets secondaires figurant ci-après ne surviennent pas très souvent, mais ils pourraient cependant engendrer de graves problèmes si vous ne consultez pas votre médecin ou si vous ne recevez pas des soins médicaux.
Renseignez-vous auprès de votre médecin au plus tôt si l'un des effets secondaires ci-après se manifeste :
- de l'agitation;
- des anomalies du champ visuel;
- des démangeaisons;
- une éruption cutanée;
- un évanouissement;
- une fréquence cardiaque accrue ou irrégulière;
- une grave constipation;
- des hallucinations (l'illusion d'entendre, de voir ou de sentir quelque chose qui n'existe pas réellement);
- des signes de problèmes respiratoires (par ex. de l'essoufflement, une respiration sifflante, une respiration irrégulière ou difficile);
- une sudation accrue;
- des troubles de la coordination.
Cessez de prendre le médicament et sollicitez immédiatement des soins médicaux s'il se produit une réponse comme :
- des crises convulsives ;
- des signes d'une prise médicamenteuse excessive (une surdose) de codéine comme une peau moite et froide, une pression artérielle basse, une contraction exagérée de la pupille, un état de forte nervosité ou de forte agitation, une somnolence profonde, de la faiblesse, des battements du cœur lents;
- des signes d'une réaction allergique grave (par des crampes abdominales, une difficulté respiratoire, de la nausée et des vomissements, ou une boursouflure du visage et une enflure de la gorge) ;
- des symptômes du syndrome sérotoninergique (par ex. de la confusion, battements de cœur rapides, des hallucinations, un état d'excitation, des tremblements, des frissonnements, des soudaines contractions des muscles, de la sudation).
Certaines personnes peuvent ressentir des effets secondaires autres que ceux énumérés. Consultez votre médecin si vous remarquez un symptôme qui vous inquiète pendant que vous prenez ce médicament.
Existe-t-il d'autres précautions d'emploi ou mises en garde?
Avant d'employer un médicament, ne manquez pas d'informer votre médecin des troubles médicaux ou des allergies que vous pourriez avoir, des médicaments que vous utilisez et de tout autre fait important au sujet de votre santé. Les femmes devraient mentionner si elles sont enceintes ou si elles allaitent. Ces facteurs pourraient avoir une influence sur la façon dont vous devriez employer ce médicament.
Alcool et autres médicaments causant de la somnolence : les personnes qui prennent ce médicament ne doivent pas le combiner avec de l'alcool et doivent éviter de le combiner avec d'autres médicaments qui provoquent de la somnolence comme des sédatifs, des médicaments antidépresseurs ou des médicaments anxiolytiques. Sinon, cela pourrait provoquer un effet additif de la somnolence possiblement dangereux.
Autres troubles médicaux : les médicaments de la combinaison codéine - phéniramine -guaïfénésine peuvent avoir des effets sur d'autres affections médicales. La codéine peut aggraver les symptômes du delirium tremens ou de l'intoxication alcoolique aiguë. Ce médicament peut également provoquer des symptômes si votre glande thyroïde est moins active qu'à la normale (hypothyroïdie), ou peut provoquer une aggravation de la maladie d'Addison, d'une hypertrophie bénigne de la prostate (une augmentation du volume de la prostate), d'un rétrécissement de l'urètre, d'une insuffisance surrénalienne ou de porphyrie. Si vous êtes atteint de l'une de ces maladies, discutez avec votre médecin de la façon dont ce médicament pourrait influer sur votre affection, de l'influence de votre affection sur l'administration et l'efficacité de ce médicament, et de la pertinence d'une surveillance médicale spécifique.
Constipation : la codéine peut entraîner une forte constipation. Une alimentation riche en fibres et un bon transit intestinal aideront à minimiser cet effet. Si vous avez une tendance à la constipation, discutez avec votre médecin de la façon dont ce médicament pourrait influer sur votre affection, de l'influence de votre affection sur l'administration et l'efficacité de ce médicament, et de la pertinence d'une surveillance médicale spécifique.
Dépendance et sevrage : ce médicament contient de la codéine. Des phénomènes de dépendance physique et psychique ainsi que des abus se sont produits durant l'emploi de la codéine. Les personnes qui ont eu, ou qui ont, des problèmes liés à la consommation d'alcool et de drogues pourraient courir un risque accru de mésusage ou d'accoutumance pendant qu'elles emploient ce médicament.
Un emploi abusif n'est pas un problème que connaissent les personnes qui ont besoin de ce médicament pour le soulagement de la douleur. Des symptômes de sevrage pourraient survenir si la prise du médicament est soudainement interrompue comme de l'anxiété, de la sudation, des troubles du sommeil, un secouement, de la douleur, de la nausée, des tremblements, de la diarrhée et des hallucinations. Si vous prenez ce médicament depuis longtemps, vous devriez vous conformer aux instructions de votre médecin pour cesser d'utiliser le médicament progressivement.
Diabète : ce médicament contient du sucre qui pourrait élever les taux de sucre sanguins. Vous devrez possiblement tester votre glycémie plus fréquemment qu'à l'habitude lors de l'utilisation de la combinaison codéine - phéniramine - guaïfénésine. Si vous êtes atteint de diabète, discutez avec votre médecin de la façon dont ce médicament pourrait influer sur votre affection, de l'influence de votre affection sur l'administration et l'efficacité de ce médicament, et de la pertinence d'une surveillance médicale spécifique.
Fonction hépatique : les personnes atteintes d'une maladie du foie ou dont la fonction hépatique est diminuée devraient discuter avec leur médecin de la façon dont ce médicament pourrait influer sur leur affection, comment leur affection pourrait influer sur l'administration et l'efficacité de ce médicament, et de la pertinence d'une surveillance médicale spécifique.
Fonction rénale : les personnes atteintes d'une maladie rénale ou dont la fonction rénale est diminuée devraient discuter avec leur médecin de la façon dont ce médicament pourrait influer sur leur affection, comment leur affection pourrait influer sur l'administration et l'efficacité de ce médicament, et de la pertinence d'une surveillance médicale spécifique.
Glaucome : l'association médicamenteuse codéine - phéniramine - guaifénésine peut aggraver un glaucome. Si vous êtes atteint d'un glaucome à angle fermé, discutez avec votre médecin de la façon dont ce médicament pourrait influer sur votre affection, de l'influence de votre affection sur l'administration et l'efficacité de ce médicament, et de la pertinence d'une surveillance médicale spécifique.
Maladie cardiaque : ce médicament peut aggraver les symptômes de certaines maladies cardiaques. Si vous avez un rythme cardiaque irrégulier, une cardiopathie ischémique, une pression artérielle élevée ou d'autres maladies cardiaques, discutez avec votre médecin de la façon dont ce médicament pourrait influer sur votre affection, de l'influence de votre affection sur l'administration et l'efficacité de ce médicament, et de la pertinence d'une surveillance médicale spécifique.
Problèmes des glandes surrénales : les glandes surrénales produisent des messagers chimiques responsables de la fonction normale des organes, notamment de notre réponse aux blessures ou au stress. Lorsque les opioïdes sont pris pendant plus d'un mois, le médicament pourrait provoquer une dysfonction des glandes surrénales. Il se peut que votre médecin porte une attention spéciale à la fonction de ces glandes, en particulier si vous avez subi un stress comme une intervention chirurgicale, une blessure ou une infection importante.
Respiration : la codéine peut causer un arrêt respiratoire. Les enfants sont plus susceptibles de subir des problèmes respiratoires importants, et même de mourir à la suite de l'utilisation de ce médicament. Pour cette raison, on ne doit pas donner ce médicament à des enfants de moins de 12 ans. Si vous avez des facteurs de risque de difficultés respiratoires comme l'asthme, discutez avec votre médecin de la façon dont ce médicament pourrait influer sur votre affection, de l'influence de votre affection sur l'administration et l'efficacité de ce médicament, et de la pertinence d'une surveillance médicale spécifique.
Somnolence ou vigilance réduite : ce médicament peut causer de la somnolence. Évitez de conduire, de faire fonctionner des machines ou d'accomplir d'autres tâches potentiellement dangereuses jusqu'au moment où vous connaîtrez l'effet de ce médicament sur vos capacités de réaction.
Syndrome sérotoninergique : bien que rarement, des réactions importantes sont possibles lorsque la prise de la codéine est combinée à celle d'autres médicaments qui agissent sur la sérotonine, comme les antidépresseurs tricycliques et les inhibiteurs du recaptage de la sérotonine (médicaments utilisés pour soigner une dépression). Les symptômes d'une réaction sont, entre autres, une rigidité et des spasmes musculaires, une difficulté à bouger ou une altération de l'état mental – y compris un délire et de l'agitation. Le coma et la mort pourraient également se produire.
Si vous prenez des antidépresseurs, discutez avec votre médecin de la façon dont ce médicament pourrait influer sur votre affection, de l'influence de votre affection sur l'administration et l'efficacité de ce médicament, et de la pertinence d'une surveillance médicale spécifique.
Traumatisme crânien : les personnes souffrant d'un traumatisme crânien ou d'une pression intracrânienne accrue courent un risque accru d'effets secondaires (troubles respiratoires) ou d'aggravation de leur trouble pendant qu'elles prennent ce médicament. Elles devraient discuter avec leur médecin de la façon dont ce médicament pourrait influer sur leur état pathologique, comment leur état pathologique pourrait influer sur l'administration et l'efficacité de ce médicament, et de la pertinence d'une surveillance médicale spécifique.
Troubles abdominaux : la codéine, comme les autres médicaments narcotiques peut rendre le diagnostic de troubles abdominaux plus difficile ou aggraver ces troubles. Si vous devez subir une intervention chirurgicale à l'abdomen ou si vous êtes atteint d'un trouble abdominal comme une maladie inflammatoire ou obstructive de l'intestin, une cholécystite aiguë ou une pancréatite, discutez avec votre médecin de la façon dont ce médicament pourrait influer sur votre affection, de l'influence de votre affection sur l'administration et l'efficacité de ce médicament, et de la pertinence d'une surveillance médicale spécifique.
Troubles épileptiques : si vous êtes atteint d'un trouble épileptique ou si vous avez des antécédents de convulsions, discutez avec votre médecin de la façon dont ce médicament pourrait influer sur votre affection, de l'influence de votre affection sur l'administration et l'efficacité de ce médicament, et de la pertinence d'une surveillance médicale spécifique.
Utilisation accidentelle : lorsque ce médicament est utilisée par une personne à qui elle n'était pas prescrite, les effets du médicaments peuvent être mortels. Conservez ce médicament hors de la vue et de la portée des enfants.
Grossesse : ce médicament ne devrait pas ne devrait pas s'utiliser durant la grossesse à moins que les bienfaits priment les risques. Si une grossesse advient pendant que vous utilisez ce médicament, prenez contact avec votre médecin immédiatement. Les tout-petits dont la mère a fait une consommation prolongée de la codéine ou qui avait une dépendance physique à la codéine auront une dépendance physique à ce médicament, et elle pourrait se manifester par des symptômes de difficultés respiratoires et de sevrage.
Allaitement : ce médicament passe dans le lait maternel. Une partie de la codéine est transformée en morphine par le corps. Pour certaines personnes, ce processus se produit plus rapidement que pour d'autres. Dans le cas d'une mère qui allaite, le bébé court le risque d'une surdose de morphine par le biais du lait maternel. Si vous employez l'association médicamenteuse codéine - phéniramine - guaifénésine pendant que vous allaitez, votre bébé pourrait en ressentir les effets. Consultez votre médecin pour savoir si vous devriez continuer l'allaitement.
Enfants : ni l'innocuité ni l'efficacité de ce médicament n'a été établie en ce qui concerne les enfants de moins de 18 ans.
Aînés : les aînés peuvent être plus sensibles aux effets nocifs des médicaments de ce produit.
D'autres agents peuvent-ils interagir avec ce médicament?
Il pourrait se produire une interaction entre l'association médicamenteuse codéine - phéniramine - guaifénésine et l'un des agents ci-après :
- l'acétate d'abiratérone;
- l'aclidinium;
- l'alcool;
- les amphétamines (par ex. la dextroamphétamine, la lisdexamfétamine);
- les analogues de la somatostatine (par ex. la lanréotide, l'octréotide, la pasiréotide);
- les anesthésiques généraux (les médicaments utilisés pour provoquer un sommeil profond avant une intervention chirurgicale);
- les anticonvulsivants (par ex. l'acide valproïque, la carbamazépine, le clobazam, le lévétiracétam, la phénytoïne, la primidone, le topiramate);
- les antidépresseurs tricycliques (par ex. l'amitriptyline, la désipramine, la nortriptyline);
- les antifongiques dont le nom se termine en « azole » (par ex. le fluconazole, l'itraconazole, le kétoconazole);
- les antihistaminiques (par ex. la cétirizine, la doxylamine, la diphenhydramine, l'hydroxyzine, la loratadine);
- les antipsychotiques (par ex. la chlorpromazine, la clozapine, l'halopéridol, l'olanzapine, la quétiapine, la rispéridone);
- l'apalutamide;
- l'aprépitant;
- l'atropine;
- d'autres narcotiques analgésiques (par ex. le butorphanol, le fentanyl, l'hydrocodone, la morphine);
- les barbituriques (par ex. le phénobarbital, le butalbital);
- les benzodiazépines (par ex. le diazépam, le lorazépam, l'oxazépam);
- la benztropine;
- la bétahistine;
- le bosentan;
- la brimonidine;
- la bromocriptine;
- la buprénorphine;
- le bupropion;
- le cannabis;
- le cinacalcet;
- le clidinium;
- le cobicistat;
- la darifénacine;
- la desmopressine;
- le diltiazem;
- le diphénoxylate;
- le disopyramide;
- les diurétiques (pilules pour éliminer l'eau; par ex. le furosémide, l'hydrochlorothiazide, le triamtérène);
- le dompéridone;
- la dronédarone;
- l'éfavirenz;
- l'entacapone;
- l'entacapone;
- l'enzalutamide;
- l'éplérénone;
- l'éthopropazine;
- l'étravirine;
- la fésotérodine;
- la flibansérine;
- la flunarizine;
- le glucagon;
- le glycopyrrolate;
- l'hydrate de chloral;
- les inhibiteurs de l'anhydrase carbonique (par ex. l'acétazolamide, le méthazolamide);
- les inhibiteurs de la monoamine-oxydase ou IMAO (par ex. le moclobémide, la rasagiline, la phénelzine, la sélégiline, la tranylcypromine);
- les inhibiteurs de la protéase du VIH (par ex. l'atazanavir, le darunavir, le ritonavir);
- les inhibiteurs des cholinestérases (par ex. le donépézil, la galantamine, la néostigmine, la rivastigmine);
- les inhibiteurs des protéines kinases (par ex. le céritinib, l'imatinib, le nilotinib);
- les inhibiteurs sélectifs du recaptage de la sérotonine (ISRS; par ex. le citalopram, la duloxétine, la fluoxétine, la paroxétine, la sertraline);
- les inhibiteurs sélectifs du recaptage de la sérotonine-noradrénaline ou ISRN (par ex. la desvenlafaxine, la duloxétine, la venlafaxine);
- l'ipratropium;
- le jus de pamplemousse;
- le kava;
- la kétamine;
- le kétotifène;
- le lemborexant;
- le letermovir;
- le linézolide;
- le lithium;
- le lumacaftor et l'ivacaftor;
- la méthadone;
- la métoclopramide;
- la mifépristone;
- le millepertuis;
- la minocycline;
- le mirabégron;
- la mirtazapine;
- le modafinil;
- le nabilone;
- la naltrexone;
- l'oxybate de sodium;
- l'oxybutynine;
- le peginterféron alfa-2b;
- le pegvisomant;
- le pérampanel;
- le pitolisant;
- le pizotifène;
- la pomalidomide;
- le pramipexole;
- la prégabaline;
- la propivérine;
- la quinine;
- les relaxants musculaires (par ex. le baclofène, la cyclobenzaprine, le méthocarbamol, l'orphénadrine);
- la rifabutine;
- la rifampine;
- le ritonavir;
- le ropinirole;
- la rotigotine;
- la scopolamine;
- la solifénacine;
- la spironolactone;
- la terbinafine;
- la tétrabénazine;
- le tétrahydrocannabinol;
- la thalidomide;
- le tiotropium;
- la toltérodine;
- la toxine botulinique;
- la trazodone;
- le trihexyphénidyl;
- le trospium;
- le tryptophane;
- l'uméclidinium;
- la valériane;
- le vérapamil;
- le zolpidem;
- la zopiclone.
Si vous prenez l'un de ces médicaments, consultez votre médecin ou un pharmacien. Dans votre cas, votre médecin peut vous demander de :
- cesser la prise de l'un des médicaments,
- remplacer l'un des médicaments par un autre,
- modifier la manière dont vous prenez l'un des médicaments, ou les deux,
- ne rien changer du tout.
L'interférence d'un médicament avec un autre n'entraîne pas toujours l'interruption de la prise de l'un d'eux. Demandez à votre médecin quelle est la conduite à tenir en cas d'interactions médicamenteuses.
D'autres médicaments que ceux énumérés précédemment peuvent interagir avec ce médicament. Signalez à votre médecin tout ce que vous prenez, qu'il s'agisse de médicaments sur ordonnance ou en vente libre et de remèdes à base de plantes médicinales. N'oubliez pas de mentionner tout supplément que vous absorbez. Si vous consommez de la caféine, de l'alcool, de la nicotine ou des drogues illicites, vous devriez en avertir votre médecin prescripteur puisque ces substances peuvent modifier l'action de nombreux médicaments.
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