Comment ce médicament agit-il? Quels sont ses effets?

Olaparib appartient à la classe de médicaments appelés antinéoplasiques. On l'utilise pour traiter certains types de cancers des ovaires, des trompes de Fallope et du péritoine (une couche de tissu qui tapisse l'abdomen). On l'utilise également pour traiter certains types de cancers du sein, du pancréas et de la prostate qui se sont métastasés. L'olaparib est utilisé chez les personnes qui possèdent un type spécifique de mutation génétique appelée BRCA. L'olaparib agit en empêchant les cellules cancéreuses de réparer les altérations à leur ADN. Cela aide à tuer les cellules cancéreuses.

L'olaparib a également reçu un avis de conformité avec conditions (AC-C) de Santé Canada pour le traitement de certains autres cancers de l'ovaire, des trompes de Fallope et du péritoine pour les personnes qui ne possèdent pas la mutation du gène BRCA. Autrement dit, Santé Canada a approuvé la commercialisation de ce médicament en se fondant sur des preuves d'efficacité prometteuses, mais des études supplémentaires doivent être effectuées pour vérifier son efficacité. Un AC-C est décerné pour permettre l'accès à des produits employés pour le traitement ou la prévention d'affections pouvant mettre la vie en danger ou s'avérer gravement débilitantes.

Ce médicament est disponible sous divers noms de marque ou sous différentes présentations. Une marque spécifique de ce médicament n'est peut-être pas offerte sous toutes les formes ni avoir été approuvée contre toutes les affections dont il est question ici. En outre, certaines formes de ce médicament pourraient ne pas être utilisées contre toutes les affections mentionnées dans cet article.

Il se pourrait que votre médecin ait suggéré ce médicament contre une affection qui ne figure pas dans cet article d'information sur les médicaments. Si vous n'en avez pas encore discuté avec votre médecin, ou si vous avez des doutes sur les raisons pour lesquelles vous prenez ce médicament, consultez-le. Ne cessez pas de prendre ce médicament sans avoir consulté votre médecin au préalable.

Ne donnez ce médicament à personne, même à quelqu'un qui souffre des mêmes symptômes que vous. Ce médicament pourrait nuire aux personnes pour lesquelles il n'a pas été prescrit.


Sous quelles formes ce médicament se présente-t-il?

100 mg
Chaque comprimé jaune à jaune foncé, oval, biconvexe, portant l'inscription « OP 100 » gravée d'un côté et rien de l'autre, contient 100 mg d'olaparib. Ingrédients non médicinaux : dioxyde de silice colloïdale, copovidone, mannitol et stéarylfumarate de sodium; pelliculage : hypromellose, macrogol 400, dioxyde de titane (E171) et oxyde de fer jaune (E172).

150 mg
Chaque comprimé vert à vert/gris, oval, biconvexe, portant l'inscription « OP 150 » gravée d'un côté et rien de l'autre, contient 150 mg d'olaparib. Ingrédients non médicinaux : dioxyde de silice colloïdale, copovidone, mannitol et stéarylfumarate de sodium; pelliculage : hypromellose, macrogol 400, dioxyde de titane (E171), oxyde de fer noir (E172) et oxyde de fer jaune (E172).

Comment doit-on employer ce médicament?

La dose d'olaparib recommandée pour les adultes est de 300 mg (2 comprimés de 150 mg) pris oralement, 2 fois par jour. Selon certains facteurs comme l'intensité de vos effets secondaires, vos antécédents médicaux et la nature des autres médicaments que vous prenez, votre médecin peut réduire votre dose.

Avalez les comprimés entiers avec de l'eau. Ne mâchez pas, ne broyez pas, ne dissolvez pas et ne divisez pas les comprimés pour les prendre. Il est possible de prendre ce médicament à jeun ou avec de la nourriture. Ne buvez pas de jus de pamplemousse pendant que vous utilisez ce médicament.

Plusieurs facteurs peuvent entrer en ligne de compte pour déterminer la dose dont une personne a besoin : son poids, son état de santé et la prise d'autres médicaments. Si votre médecin a recommandé une dose autre que celles indiquées ici, ne modifiez pas la manière de prendre le médicament sans le consulter au préalable.

Il est important d'utiliser ce médicament conformément aux indications de votre médecin. Si vous oubliez une dose, ne vous souciez pas de la dose omise et reprenez le schéma posologique usuel. N'utilisez pas une double dose pour compenser l'omission d'une dose. Si vous hésitez sur la conduite à tenir après avoir omis une dose, demandez conseil à votre médecin ou à un pharmacien.

Entreposez ce médicament à la température ambiante dans son contenant original, à l'abri de la lumière et de l'humidité et hors de la portée des enfants.

Ne jetez pas de médicaments dans les eaux usées (par ex. pas dans l'évier ni dans la cuvette des cabinets) ni avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien comment vous débarrasser des médicaments inutilisés ou périmés.

Dans quels cas ce médicament est-il déconseillé?

Quiconque ayant une allergie à l'olaparib ou à l'un des ingrédients de ce médicament ne devrait pas l'utiliser.

Quels sont les effets secondaires possibles de ce médicament?

Beaucoup de médicaments peuvent provoquer des effets secondaires. Un effet secondaire est une réponse indésirable à un médicament lorsqu'il est pris à des doses normales. Il peut être léger ou grave, temporaire ou permanent.

Les effets secondaires énumérés ci-après ne sont pas ressentis par toutes les personnes qui prennent ce médicament. Si les effets secondaires vous inquiètent, discutez des risques et des bienfaits de ce médicament avec votre médecin.

Au moins 1 % des personnes prenant ce médicament ont signalé les effets secondaires ci-après. Un grand nombre de ces effets secondaires peuvent être pris en charge et quelques-uns peuvent disparaître d'eux-mêmes avec le temps.

Consultez votre médecin si vous ressentez ces effets secondaires et s'ils sont graves ou gênants. Votre pharmacien pourrait être en mesure de vous donner des conseils sur la conduite à tenir si ces effets secondaires apparaissaient :

  • une altération des sensations gustatives;
  • des brûlures d'estomac;
  • de la constipation;
  • de la diarrhée;
  • une éruption cutanée;
  • des étourdissements;
  • de la faiblesse;
  • de la fatigue;
  • des lésions dans la bouche;
  • des maux de tête;
  • de la nausée;
  • une perte d'appétit;
  • une toux;
  • des vomissements.

La plupart des effets secondaires figurant ci-après ne surviennent pas très souvent, mais ils pourraient cependant engendrer de graves problèmes si vous ne recevez pas des soins médicaux.

Renseignez-vous auprès de votre médecin au plus tôt si l'un des effets secondaires ci-après se manifeste :

  • une diarrhée aiguë;
  • de la douleur abdominale (sous les côtes);
  • une éruption cutanée prurigineuse (qui démange) sur de la peau rouge et enflée;
  • un essoufflement;
  • une fièvre;
  • la présence de bosses douloureuses rouges (habituellement aux jambes);
  • des signes attribuables à de l'anémie (réduction du nombre de globules rouges; par ex. des étourdissements, de la pâleur, de la fatigue ou de la faiblesse inhabituelle, un essoufflement);
  • des signes attribuables à une inflammation pulmonaire (par ex. l'apparition d'essoufflement ou l'aggravation de ce symptôme, de la toux, de la fièvre);
  • des signes de la présence d'un caillot sanguin dans le bras ou la jambe (de la sensibilité, de la douleur, de l'enflure, de la chaleur ou de la rougeur dans le bras ou la jambe);
  • des signes d'un désordre de la coagulation (par ex. un saignement du nez inaccoutumé, des ecchymoses, du sang dans l'urine, une toux avec expectoration sanglante, un saignement des gencives, des coupures qui n'arrêtent pas de saigner);
  • des signes attribuables à une infection pulmonaire (pneumonie; toux possiblement productrice de crachats, fièvre, frissons, essoufflement);
  • des signes d'une inflammation de la vessie (par ex. une augmentation du besoin d'uriner, l'apparition d'urine trouble, foncée ou à forte odeur; une douleur ou un inconfort à la miction urinaire; la présence de sang dans l'urine);
  • des symptômes attribuables à de l'angioœdème (par ex. une accumulation de liquide ou une enflure sous la peau);
  • des symptômes d'une infection des voies urinaires (par ex. de la douleur lors de l'émission de l'urine, fréquence accrue de l'émission d'urine, de la douleur dans le bas du dos ou de flanc).

Cessez de prendre le médicament et sollicitez immédiatement des soins médicaux s'il se produit une réponse comme :

  • des signes de la présence d'un caillot sanguin dans le poumon (des difficultés respiratoires, une douleur thoracique vive accentuée par l'inspiration, de la toux, la présence de sang dans les crachats, de la sueur, ou un évanouissement);
  • des signes d'infection (symptômes pouvant comprendre une fièvre ou des frissons, une diarrhée grave, un essoufflement, des étourdissements prolongés, un mal de tête, une raideur du cou, une perte de poids ou un abattement);
  • des signes d'une réaction allergique importante (par ex. des crampes abdominales, une difficulté respiratoire, des nausées et des vomissements, ou une boursouflure du visage et une enflure de la gorge).

Certaines personnes peuvent ressentir des effets secondaires autres que ceux énumérés. Consultez votre médecin si vous remarquez un symptôme qui vous inquiète pendant que vous employez ce médicament.

Existe-t-il d'autres précautions d'emploi ou mises en garde?

Avant d'employer un médicament, ne manquez pas d'informer votre médecin des troubles médicaux ou des allergies que vous pourriez avoir, des médicaments que vous utilisez, si vous êtes enceinte ou si vous allaitez et de tout autre fait important au sujet de votre santé. Ces facteurs pourraient avoir une influence sur la façon dont vous devriez employer ce médicament.

Anémie : l'olaparib peut provoquer une baisse du nombre de globules rouges. Si vous avez des symptômes révélant une baisse des globules rouges (anémie) comme un essoufflement, une fatigue inhabituelle ou une peau pâle, communiquez aussitôt que possible avec votre médecin.

Autres cancers : il est arrivé, rarement, que des personnes ayant pris l'olaparib ont contracté un syndrome myélodysplasique/leucémie myéloïde aiguë (LMA) ou d'autres maladies caractérisées par l'incapacité de la moelle osseuse à produire les cellules sanguines de façon appropriée. Ces maladies sont susceptibles de menacer la vie. Discutez avec votre médecin de toute préoccupation que vous pouvez avoir à ce sujet.

Caillots de sang : ce médicament peut accroître le risque de formation de caillots de sang qui causeraient une réduction du flot sanguin aux organes ou aux extrémités.

Si vous avez des antécédents de coagulation, informez-en votre médecin, car vous pourriez courir un risque accru d'avoir des problèmes liés à des caillots de sang comme une crise cardiaque, un accident vasculaire cérébral ou des caillots dans les veines profondes d'une jambe. Discutez avec votre médecin de la façon dont ce médicament pourrait influer sur votre affection, de l'influence de votre affection sur l'administration et l'efficacité de ce médicament, et de la pertinence d'une surveillance médicale spécifique.

Si vous ressentez des symptômes comme une douleur vive et une enflure de la jambe, de la difficulté à respirer, une douleur thoracique, une vue brouillée ou de la difficulté à parler, communiquez immédiatement avec votre médecin.

Contraception : l'efficacité des méthodes de contraception hormonales (pilule contraceptive et injections mensuelles) peut être réduite par la prise d'olaparib. Il est recommandé d'utiliser des méthodes supplémentaires de contraception pendant la prise d'olaparib et pendant au moins 6 mois après l'arrêt du médicament.

Fonction hépatique : la maladie hépatique ou la réduction de la fonction hépatique peut provoquer une accumulation de ce médicament dans l'organisme, causant ainsi des effets secondaires. En cas de troubles hépatiques, discutez avec votre médecin de la façon dont ce médicament pourrait influer sur votre affection, de l'influence de votre affection sur l'administration et l'efficacité de ce médicament, et de la pertinence d'une surveillance médicale spécifique.

Fonction rénale : une réduction de la fonction rénale peut provoquer l'accumulation de ce médicament dans le corps, ce qui est susceptible de causer des effets secondaires. En cas d'atteintes rénales, discutez avec votre médecin de la façon dont ce médicament pourrait influer sur votre affection, de l'influence de votre affection sur l'administration et l'efficacité de ce médicament, et de la pertinence d'une surveillance médicale spécifique. L'utilisation d'olaparib n'est pas recommandée aux personnes possédant une atteinte rénale importante ou terminale.

Infection : non seulement l'olaparib tue les cellules cancéreuses, mais elle peut faire chuter le nombre de cellules qui combattent l'infection dans le corps (les globules blancs). Si possible, évitez d'entrer en contact avec les personnes ayant une infection contagieuse. Communiquez avec votre médecin immédiatement si vous observez des signes d'une infection, comme une fièvre, des frissons, une diarrhée aiguë, un essoufflement, des étourdissements prolongés, des maux de tête, de la raideur dans le cou, une perte de poids ou un manque d'énergie.

Inflammation des poumons : on a rapporté qu'une inflammation pulmonaire (pneumopathie) provoquant des difficultés respiratoires s'était produite à des rares occasions chez certaines personnes qui avaient pris ce médicament. Cette complication peut être grave et parfois mortelle. Si votre essoufflement s'aggrave ou vous ressentez soudain un essoufflement, accompagné ou non d'une fièvre, à n'importe quel moment durant votre traitement par l'olaparib, communiquez immédiatement avec votre médecin.

Pamplemousse et jus de pamplemousse : le pamplemousse, la carambole, la grenade, les oranges de Séville et leurs jus interfèrent avec la dégradation et l'élimination de ce médicament de l'organisme. L'ingestion de l'un ou l'autre de ces produits pendant la prise de l'olaparib peut causer une accumulation du médicament dans le corps, provoquant ainsi d'importants effets secondaires. Vous devez donc éviter ces fruits et leurs jus pendant que vous prenez de l'olaparib.

Saignement : ce médicament peut provoquer une baisse du nombre de plaquettes dans le sang, ce qui rend les saignements plus difficiles à faire cesser. Si vous remarquez des signes de saignement, comme des saignements de nez fréquents, des ecchymoses inexpliquées, ou des selles noirâtres et goudronneuses, signalez-le à votre médecin au plus tôt.

Somnolence et étourdissements : l'utilisation de l'olaparib peut provoquer de la somnolence ou des étourdissements, nuisant ainsi à votre capacité de conduire un véhicule ou de faire fonctionner de la machinerie. Évitez de conduire un véhicule, de manœuvrer de la machinerie ou d'accomplir d'autres tâches possiblement dangereuses avant d'avoir établi comment ce médicament agit sur vous.

Grossesse : l'innocuité de ce médicament lorsqu'il est utilisé pendant la grossesse n'a pas fait l'objet d'études scientifiques. À cause du potentiel de provoquer des lésions chez le bébé en développement, on ne doit pas utiliser l'olaparib pendant la grossesse. Si une grossesse advient pendant que votre partenaire ou vous-même utilisez ce médicament, prenez contact avec votre médecin immédiatement.

Si vous pouvez devenir enceinte, vous devez utiliser une méthode de contraception efficace pendant que vous utilisez ce médicament et pendant les 6 mois qui suit la dernière dose d'olaparib. Les patients dont les partenaires sont susceptibles de devenir enceintes doivent utiliser une méthode de contraception efficace pendant qu'ils prennent ce médicament et les 3 mois qui suivent la dernière dose d'olaparib.

Allaitement : on ignore si l'olaparib passe dans le lait maternel. Si vous prenez ce médicament pendant que vous allaitez, votre bébé pourrait en ressentir les effets. N'allaitez pas votre bébé pendant que vous prenez l'olaparib et pendant au moins 1 mois après la prise de votre dernière dose de ce médicament.

Enfants : ni l'innocuité ni l'efficacité de ce médicament n'a été établie en ce qui concerne les enfants.

D'autres agents peuvent-ils interagir avec ce médicament?

Il pourrait se produire une interaction entre l'olaparib et l'un des agents ci-après :

  • l'abrocitinib;
  • les agents de contraste iodés;
  • l'aldesleukine;
  • l'alemtuzumab;
  • les antibiotiques macrolides (par ex. la clarithromycine, l'érythromycine);
  • les anticorps monoclonaux (par ex. le bévacizumab, l'inotuzumab, le rituximab);
  • les antifongiques dont le nom se termine en « azole » (par ex. l'itraconazole, le kétoconazole, le voriconazole);
  • l'apalutamide;
  • l'aprépitant;
  • l'azathioprine;
  • le bacille Calmette-Guérin (BCG);
  • le baricitinib;
  • le bosentan;
  • la carbamazépine;
  • certains inhibiteurs de la protéine kinase (par ex. le céritinib, le crizotinib, le dabrafénib, l'idélalisib, l'imatinib, le nilotinib, le palbociclib);
  • certains médicaments anticancéreux (par ex. le busulfan, la cyclophosphamide, l'ifosfamide, le topotécan, la vinblastine, la vincristine);
  • la cladribine;
  • la clozapine;
  • le cobicistat;
  • la défériprone;
  • le diltiazem;
  • la dronédarone;
  • l'éfavirenz;
  • l'enzalutamide;
  • l'eslicarbazépine;
  • l'étravirine;
  • l'évérolimus;
  • la fosphénytoïne;
  • l'hydroxyurée;
  • les inhibiteurs de la protéase du VIH (par ex. l'atazanavir, le darunavir, le lopinavir, le ritonavir);
  • les interférons;
  • le jus de pamplemousse;
  • le lénacapavir;
  • la lénalidomide;
  • le letermovir;
  • le linézolide;
  • le lumacaftor et l'ivacaftor;
  • les médicaments de la classe des aminosalicylates (par ex. la mésalamine, l'olsalazine, la sulfasalazine);
  • la mercaptopurine;
  • la mésalamine;
  • le méthimazole;
  • le méthotrexate;
  • la mifépristone;
  • le millepertuis;
  • le mitotane;
  • le modafinil;
  • le nirmatrelvir et le ritonavir;
  • l'olsalazine;
  • le peginterféron;
  • le phénobarbital;
  • la phénytoïne;
  • la pomalidomide;
  • la primidone;
  • la promazine;
  • le propylthiouracile;
  • la rifabutine;
  • la rifampine;
  • la romidepsine;
  • le sirolimus;
  • la sulfasalazine;
  • le tacrolimus;
  • le temsirolimus;
  • la thalidomide;
  • le tofacitinib;
  • l'upadacitinib;
  • le vérapamil.

Si vous prenez l'un de ces médicaments, consultez votre médecin ou un pharmacien. Dans votre cas, votre médecin pourrait vous demander de :

  • cesser la prise de l'un des médicaments;
  • remplacer l'un des médicaments par un autre;
  • modifier la manière dont vous prenez l'un des médicaments, ou les deux;
  • ne rien changer du tout.

L'interférence d'un médicament avec un autre n'entraîne pas toujours l'interruption de la prise de l'un d'eux. Demandez à votre médecin quelle est la conduite à tenir en cas d'interactions médicamenteuses.

D'autres médicaments que ceux énumérés précédemment peuvent interagir avec ce médicament. Signalez à votre médecin tout ce que vous prenez, qu'il s'agisse de médicaments sur ordonnance ou en vente libre et de remèdes à base de plantes médicinales. N'oubliez pas de mentionner tout supplément que vous prenez. Si vous consommez de la caféine, de l'alcool, de la nicotine ou des drogues illicites, vous devriez en avertir votre médecin prescripteur puisque ces substances peuvent modifier l'action de nombreux médicaments.

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