Comment ce médicament agit-il? Quels sont ses effets?

La phénytoïne appartient au groupe de médicaments appelés anti-épileptiques. La phénytoïne s'utilise pour prendre en charge et prévenir certains types de crises convulsives, et pour prévenir et traiter des crises convulsives se produisant durant ou après une intervention neurochirurgicale. L'action qu'elle exerce sur le cerveau diminue le nombre et la gravité des crises convulsives.

Ce médicament est disponible sous divers noms de marque ou sous différentes présentations. Une marque spécifique de ce médicament n'est peut-être pas offerte sous toutes les formes ni avoir été approuvée contre toutes les affections dont il est question ici. En outre, certaines formes de ce médicament pourraient ne pas être utilisées contre toutes les affections mentionnées dans cet article.

Il se pourrait que votre médecin ait suggéré ce médicament contre une affection qui ne figure pas dans cet article d'information sur les médicaments. Si vous n'en avez pas encore discuté avec votre médecin, ou si vous avez des doutes sur les raisons pour lesquelles vous prenez ce médicament, consultez-le. Ne cessez pas de prendre ce médicament sans avoir consulté votre médecin au préalable.

Ne donnez pas ce médicament à quiconque, même à quelqu'un qui souffre des mêmes symptômes que les vôtres. Ce médicament pourrait nuire aux personnes pour lesquelles il n'a pas été prescrit.


Sous quelles formes ce médicament se présente-t-il?

Tremytoine Inj 50 mg/mL par Omega n'est plus fabriqué ni vendu au Canada. Lancez une recherche en tapant le mot « phénytoïne » pour trouver des marques qui sont encore offertes. Cet article n'est disponible qu'à des fins de consultation. Si vous utilisez ce médicament, discutez avec votre médecin ou un pharmacien de vos options thérapeutiques.

Comment doit-on employer ce médicament?

La dose recommandée de phénytoïne varie en fonction des besoins individuels. La dose initiale recommandée pour les adultes est de 100 mg prise trois fois par jour. Votre médecin ajustera alors la dose en fonction de l'efficacité du médicament et comment vous le tolérez. La dose habituelle pour un adulte se situe entre 300 mg et 400 mg par jour avalés en prises fractionnées. Il faut parfois que cette dose passe à 600 mg, et ils sont donnés en prises fractionnées dans certains cas. Une fois que la dose la plus appropriée pour vous aura été déterminée et que vos convulsions seront sous contrôle, il est possible que votre médecin vous suggère de prendre le médicament sous la forme d'une dose unique quotidienne.

La dose pour les enfants est établie en fonction de leur âge et de leur poids corporel. La dose recommandée au début du traitement est de 5 mg par kilo de poids corporel par jour qui est alors divisée en 3 doses égales.

Le dosage de votre taux de phénytoïne sanguin se vérifie au moyen d'épreuves de laboratoire. Ce type d'examen aide votre médecin à déterminer la dose de phénytoïne qui convient le mieux à votre cas.

La phénytoïne peut se prendre durant ou après les repas. N'employez pas les gélules dont la coloration est anormale.

Plusieurs facteurs peuvent entrer en ligne de compte pour déterminer la dose dont une personne a besoin : son poids, son état de santé et la prise d'autres médicaments. Si votre médecin a recommandé une dose autre que celles indiquées ici, ne modifiez pas la manière de prendre le médicament sans le consulter au préalable.

Il est très important que ce médicament soit pris conformément aux indications de votre médecin. Si vous oubliez une dose, prenez le médicament dès que vous constatez l'omission et reprenez la suite du traitement aussitôt que possible. S'il est presque temps de votre prochaine dose, ne vous souciez pas de la dose omise et reprenez le schéma posologique usuel. N'utilisez pas une double dose pour compenser l'omission d'une dose. Si vous hésitez sur la conduite à tenir après avoir omis une dose, demandez conseil à votre médecin ou à un pharmacien.

Conservez ce médicament à la température ambiante, à l'abri de la lumière et de l'humidité et hors de la portée des enfants.

Ne jetez pas de médicaments dans les eaux usées (par ex. pas dans l'évier ni dans la cuvette des cabinets) ni avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien comment vous débarrasser des médicaments inutilisés ou périmés.

Dans quels cas ce médicament est-il déconseillé?

Ce médicament ne devrait pas s'employer dans les circonstances ci-après :

  • une allergie à la phénytoïne ou à l'un des ingrédients du médicament;
  • une allergie à d'autres médicaments appartenant à la classe des médicaments appelés hydantoïnes (par ex. la fosphénytoïne).
  • la présence de désordres cardiaques comme une lenteur du rythme cardiaque, un bloc cardiaque ou des anomalies du rythme cardiaque;
  • une utilisation du médicament antiviral appelé delaviridine.

Quels sont les effets secondaires possibles de ce médicament?

Beaucoup de médicaments peuvent provoquer des effets secondaires. Un effet secondaire est une réponse indésirable à un médicament lorsqu'il est pris à des doses normales. Il peut être léger ou grave, temporaire ou permanent.

Les effets secondaires énumérés ci-après ne sont pas ressentis par toutes les personnes qui prennent ce médicament. Si les effets secondaires vous inquiètent, discutez des risques et des bienfaits de ce médicament avec votre médecin.

Au moins 1 % des personnes prenant ce médicament ont signalé les effets secondaires ci-après. Un grand nombre de ces effets secondaires peuvent être pris en charge et quelques-uns peuvent disparaître d'eux-mêmes avec le temps.

Consultez votre médecin si vous ressentez ces effets secondaires et s'ils sont graves ou gênants. Votre pharmacien pourrait être en mesure de vous donner des conseils sur la conduite à tenir si ces effets secondaires apparaissaient :

  • une altération des sensations gustatives;
  • un assoupissement (léger);
  • une constipation;
  • une croissance de poils sur le corps et le visage;
  • un état de nervosité;
  • des étourdissements (légers).
  • des maux de tête;
  • de la nausée;
  • des troubles du sommeil;
  • des vomissements.

La plupart des effets secondaires figurant ci-après ne surviennent pas très souvent, mais ils pourraient cependant engendrer de graves problèmes si vous ne consultez pas votre médecin ou si vous ne recevez pas des soins médicaux.

Renseignez-vous auprès de votre médecin au plus tôt si l'un des effets secondaires ci-après se manifeste :

  • des anomalies dans les mouvements ou des troubles de la coordination des mouvements;
  • des battements de cœur rapides, lents ou irréguliers;
  • des changements aux traits du visage;
  • de la confusion;
  • de la douleur osseuse ou des fractures;
  • une éruption cutanée;
  • des étourdissements;
  • des mouvements oculaires insolites;
  • un saignement, une douleur à la pression ou une enflure des gencives;
  • une sensation de picotement sur la peau;
  • une sensation de rotation du corps;
  • des signes attribuables à de l'anémie (réduction du nombre de globules rouges; par ex. des étourdissements, la pâleur de la peau, une fatigue ou une faiblesse inaccoutumée, un essoufflement);
  • des signes d'infection (symptômes pouvant comprendre une fièvre ou des frissons, une diarrhée grave, un essoufflement, des étourdissements prolongés, un mal de tête, une raideur du cou, une perte de poids ou un abattement);
  • des signes d'un saignement (par ex. un saignement du nez, du sang dans l'urine, une toux avec expectoration sanglante, un saignement des gencives, des coupures qui n'arrêtent pas de saigner);
  • des signes de troubles hépatiques (par ex. des nausées, des vomissements, de la diarrhée, une perte de l'appétit, une perte de poids, un jaunissement de la peau ou du blanc des yeux, une urine sombre, des selles claires);
  • des symptômes psychotiques (par ex. le fait de voir ou entendre des choses qui n'existent pas ou d'être persuadé de la réalité de telles choses);
  • des symptômes d'une augmentation du taux de sucre sanguin (par ex. un besoin d'uriner fréquemment, une augmentation de la soif, une consommation de nourriture excessive, une perte de poids inexpliquée, une mauvaise cicatrisation des plaies, des infections, une haleine à odeur fruitée);
  • des troubles de l'élocution.

Cessez de prendre le médicament et sollicitez immédiatement des soins médicaux s'il se produit une réponse comme :

  • des convulsions;
  • un comportement ou des pensées suicidaires;
  • des symptômes d'une réaction allergique grave (comme une fièvre, une augmentation de volume des ganglions, un jaunissement de la peau ou du blanc des yeux, ou des symptômes semblables à ceux de la grippe accompagnés d'une éruption cutanée ou de cloques);
  • des symptômes d'une réaction cutanée grave (comme une éruption cutanée, une rougeur cutanée, la formation de cloques sur les lèvres, les yeux ou la bouche, une desquamation, une fièvre ou des douleurs articulaires).

Certaines personnes peuvent ressentir des effets secondaires autres que ceux énumérés. Consultez votre médecin si vous remarquez un symptôme qui vous inquiète pendant que vous employez ce médicament.

Existe-t-il d'autres précautions d'emploi ou mises en garde?

Avant d'employer un médicament, ne manquez pas d'informer votre médecin des troubles médicaux ou des allergies que vous pourriez avoir, des médicaments que vous utilisez, si vous êtes enceinte ou si vous allaitez et de tout autre fait important au sujet de votre santé. Ces facteurs pourraient avoir une influence sur la façon dont vous devriez employer ce médicament.

Allergie : des personnes allergiques à la carbamazépine ou aux barbituriques ont également observé des réactions allergiques à la phénytoïne. Avant de prendre la phénytoïne indiquez à votre médecin si vous avez déjà subi des réactions indésirables à certains médicaments, en particulier des médicaments contre les convulsions. Communiquez avec votre médecin immédiatement si vous remarquez des signes de réaction allergique comme une éruption cutanée, une démangeaison, une difficulté respiratoire ou une boursouflure du visage et une enflure de la gorge.

Arrêt du médicament : ne suspendez pas la prise de la phénytoïne sans avoir consulté votre médecin au préalable. Un arrêt soudain du traitement pourrait accroître le nombre ou la gravité des crises convulsives. Si vous devez cesser de prendre ce médicament, demandez à votre médecin de vous expliquer comment en réduire la dose graduellement avant de l'arrêter complètement.

Diabète : la phénytoïne peut diminuer la quantité d'insuline libérée par le pancréas et ainsi causer des taux plus élevés que la normale de glucose (sucre) dans le sang.
la phénytoïne peut influer sur l'action des médicaments employés pour abaisser le sucre sanguin des personnes atteintes de diabète. Si vous faites du diabète, ou êtes à risque de développer un diabète, discutez avec votre médecin de la façon dont ce médicament pourrait influer sur votre affection, de l'influence de votre affection sur l'administration et l'efficacité de ce médicament, et de la pertinence d'une surveillance médicale spécifique. Il peut s'avérer nécessaire de suivre votre glycémie plus attentivement lorsque vous commencez ou cessez de vous administrer un traitement avec de la phénytoïne.

Si vous ressentez des symptômes attribuables à une augmentation de la glycémie tels qu'une émission d'urine fréquente, une soif accrue, une tendance à manger excessivement, une perte de poids inattendue ou une haleine fruitée, veuillez prendre contact avec votre médecin.

Fonction hépatique : : une réduction de la fonction hépatique ou une maladie hépatique peuvent provoquer une accumulation de la phénytoïne dans l'organisme, augmentant ainsi la possibilité de réactions indésirables.

Des personnes qui suivaient un traitement par la phénytoïne ont signalé la survenue de troubles hépatiques et dans de rares cas une insuffisance hépatique. Ces cas ont été associés avec une réaction allergique qui se distingue par une fièvre, des éruptions cutanées ou de l'urticaire ou un gonflement des ganglions lymphatiques. La réaction survient habituellement dans les 2 mois qui suivent l'amorce du traitement.

Si vous observez la survenue de symptômes de troubles hépatiques comme de la fatigue, une sensation de malaise, une perte de l'appétit, de la nausée, le jaunissement de la peau ou du blanc des yeux, une urine foncée, des selles claires, une douleur abdominale, ou une enflure et une démangeaison cutanée, prenez contact avec votre médecin immédiatement. Si vous avez une fonction hépatique diminuée ou une atteinte hépatique, discutez avec votre médecin de la façon dont ce médicament pourrait influer sur votre affection, de l'influence de votre affection sur l'administration et l'efficacité de ce médicament, et de la pertinence d'une surveillance médicale spécifique.

Intolérance au lactose : la phénytoïne sous forme de capsule contient du lactose. Si vous êtes atteint d'une intolérance au galactose (galactosémie, malabsorption du glucose-galactose ou déficience en lactase de Lapp) vous ne devez pas prendre ce médicament.

Hygiène dentaire : étant donné que la phénytoïne peut causer une enflure et un saignement des gencives, une bonne hygiène dentaire est importante et devrait comporter l'emploi de la soie dentaire, le lavage des dents et des rendez-vous réguliers chez votre dentiste. Discutez avec votre médecin pour savoir comment mieux prendre soin de votre bouche, de vos gencives et de vos dents pendant que vous employez ce médicament.

Numération globulaire : ce médicament peut réduire le nombre de neutrophiles (un type de globules blancs qui aident à combattre une infection), de globules rouges (qui transportent l'oxygène) et de plaquettes (des cellules qui favorisent la coagulation de votre sang). Votre médecin demandera des analyses de sang pour surveiller votre numération globulaire. Si vous remarquez un signe quelconque d'infection (par ex. de la fièvre, des frissons ou des maux de gorge), des saignements inhabituels ou la présence inexpliquée d'ecchymoses, communiquez immédiatement avec votre médecin.

Ostéoporose : l'utilisation à long terme de médicaments anticonvulsivants, notamment la phénytoïne peut nuire à la force de vos os, car ces médicaments réduisent la quantité de vitamine D disponible pour votre organisme. Si vous êtes atteint d'ostéoporose ou si vous êtes prédisposé à subir cette affection, discutez avec votre médecin de l'opportunité de la prise de vitamine D supplémentaire.

Pensées et comportement suicidaires : il se pourrait que des personnes qui suivent un traitement par des anticonvulsivants aient un comportement ou des pensées suicidaires. Si cela se produit chez vous ou si vous remarquez ce phénomène chez un membre de votre famille qui prend ce médicament, communiquez immédiatement avec votre médecin. Pendant que vous prenez ce médicament, votre médecin doit vous suivre de près pour détecter des changements émotionnels et comportementaux.

Prise d'autres médicaments et d'alcool : plusieurs médicaments ainsi que les boissons alcoolisées interagissent avec la phénytoïne, la rendant ainsi moins efficace ou plus susceptible de provoquer des réactions indésirables. Si vous suivez un traitement par la phénytoïne, consultez votre médecin ou un pharmacien avant d'employer tout autre médicament ou de consommer des boissons alcoolisées.

Somnolence ou vigilance réduite : la phénytoïne peut induire un état de somnolence pour quelques personnes. Évitez les activités exigeant de la vigilance, comme conduire, faire fonctionner des machines, ou accomplir des tâches dangereuses, jusqu'au moment où vous aurez déterminé l'effet de ce médicament sur vos capacités de réaction.

Syndrome d'hypersensibilité : quelques personnes ont observé une grave réaction allergique appelée syndrome d'hypersensibilité lorsqu'elles ont suivi un traitement par la phénytoïne. Suspendez la prise du médicament et demandez immédiatement des soins médicaux en cas de symptômes d'une grave réaction allergique, notamment une fièvre, une augmentation de volume des ganglions, le jaunissement de la peau ou du blanc des yeux, des symptômes semblables à ceux de la grippe accompagnés d'une éruption cutanée ou de cloques. Ces réactions peuvent apparaître plus fréquemment chez les personnes d'origine asiatique, celles qui présentent des problèmes du système immunitaire ou chez les personnes qui ont déjà subi des réactions semblables lors de la prise d'autres médicaments anticonvulsivants.  

Régularité des doses : n'oubliez pas que lorsque vous suivez un traitement par la phénytoïne, il importe beaucoup d'employer le médicament conformément aux directives de votre médecin. Signalez à votre médecin tout trouble qui vous empêche d'employer le médicament comme prescrit (par ex. une intervention chirurgicale, une maladie, une gêne à la déglutition).

Grossesse : lorsqu'on prend de la phénytoïne pendant la grossesse, ce médicament peut nuire au bébé en développement. ce médicament ne devrait pas s'utiliser durant la grossesse à moins que les bienfaits priment les risques. Si une grossesse advient pendant que vous utilisez ce médicament, prenez contact avec votre médecin immédiatement.

Allaitement : ce médicament passe dans le lait maternel. Si vous employez la phénytoïne pendant que vous allaitez, votre bébé pourrait en ressentir les effets. Consultez votre médecin pour savoir si vous devriez continuer l'allaitement.

Aînés : les personnes de plus de 65 ans sont plus susceptibles de subir des effets secondaires lors de la prise de la phénytoïne. En général, les doses pour les personnes âgées doivent être plus faibles et augmentées plus lentement que celles des autres adultes.

D'autres agents peuvent-ils interagir avec ce médicament?

Il pourrait se produire une interaction entre la phénytoïne et l'un des agents ci-après :

  • l'abiratérone;
  • l'acétaminophène;
  • l'acétazolamide;
  • l'acide folique;
  • les agents antinéoplasiques (la chimiothérapie; par ex. la capécitabine, la carboplatine, l'étoposide, l'irinotécan, le paclitaxel, la vincristine);
  • l'alcool;
  • l'aliskirène;
  • l'allopurinol;
  • l'amiodarone;
  • les analogues de la vitamine D (par ex. l'alfacalcidol, le calcitriol, le cholécalciférol);
  • les anesthésiques généraux (les médicaments utilisés pour provoquer un sommeil profond avant une intervention chirurgicale);
  • les antagonistes du calcium (par ex. l'amlodipine, le diltiazem, la nifédipine, le vérapamil);
  • les antiacides (par ex. l'hydroxyde d'aluminium, le carbonate de calcium, l'hydroxyde de magnésium);
  • les antidiabétiques (par ex. la canagliflozine, la linagliptine, le répaglinide, la saxagliptine);
  • les antifongiques dont le nom se termine en « azole » (par ex. le fluconazole, le kétoconazole, le voriconazole);
  • les antipsychotiques (par ex. la cariprazine, la chlorpromazine, la clozapine, l'halopéridol, la méthotriméprazine, l'olanzapine, la quétiapine, la rispéridone);
  • l'apalutamide;
  • l'apixaban;
  • l'aprémilast;
  • l'aprépitant;
  • d'autres anticonvulsivants (par ex. l'acide valproïque, la carbamazépine, la lamotrigine, le phénobarbital, le topiramate);
  • les benzodiazépines (par ex. le clonazépam, le diazépam, le lorazépam);
  • la benzydamine;
  • le bisoprolol;
  • la bromocriptine;
  • la buprénorphine;
  • le bupropion;
  • la buspirone;
  • le cannabis;
  • le chardon-Marie;
  • la chlorphéniramine;
  • la cimétidine;
  • la ciprofloxacine;
  • la clarithromycine;
  • la clindamycine;
  • le cobicistat;
  • les contraceptifs oraux;
  • les corticostéroïdes (par ex. la dexaméthasone, l'hydrocortisone, la prednisone);
  • la cyclosporine;
  • le dabigatran;
  • la dapsone;
  • le darolutamide;
  • le déférasirox;
  • la desmopressine;
  • le diazoxide;
  • la digoxine;
  • le disopyramide;
  • le dompéridone;
  • la doxycycline;
  • la dronédarone;
  • l'édoxaban;
  • l'élagolix;
  • l'éliglustat;
  • l'éplérénone;
  • l'évérolimus;
  • le fénofibrate;
  • la fésotérodine;
  • la féxofénadine;
  • la finérénone;
  • la flibansérine;
  • la flunarizine;
  • le fostemsavir;
  • le furosémide;
  • le gemfibrozil;
  • la guanfacine;
  • les inhibiteurs de l'intégrase du VIH (par ex. le cabotégravir, le dolutégravir, l'elvitégravir);
  • les inhibiteurs de la phosphodiestérase-5 (par ex. sildénafil, vardénafil);
  • les inhibiteurs de la pompe à protons (par ex. l'ésoméprazole, l'oméprazole);
  • les inhibiteurs de la protéase du VIH (par ex. l'atazanavir, le lopinavir, le ritonavir);
  • les inhibiteurs des protéines kinases (par ex. le bosutinib, le dasatinib, l'imatinib, le nilotinib);
  • les inhibiteurs non-nucléosidiques de la transcriptase inverse du VIH (INNTIs; par ex. la doravirine, l'éfavirenz, l'étravirine, la névirapine, la rilpivirine);
  • les inhibiteurs sélectifs du recaptage de la sérotonine (ISRS; par ex. le citalopram, la fluoxétine, la sertraline);
  • l'isoniazide;
  • l'ivabradine;
  • la kétamine;
  • le lemborexant;
  • le letermovir;
  • le leuprolide;
  • la lévodopa;
  • la lidocaïne;
  • le lithium;
  • le macitentan;
  • le maraviroc;
  • le maribavir;
  • le mavacamten;
  • le mébendazole;
  • les médicaments antiviraux servant au traitement de l'hépatite C (par ex. le glécaprévir, le lédipasvir, le velpatasvir, le voxilaprévir);
  • les médicaments de type « statine » pour traiter les niveaux élevés de cholestérol (par ex. l'atorvastatine, la lovastatine, la simvastatine);
  • la méfloquine;
  • la mépéridine;
  • la méthadone;
  • le méthotrexate;
  • le métronidazole;
  • la mexilétine;
  • la mifépristone;
  • le mirabégron;
  • la mirtazapine;
  • le moclobémide;
  • le modafinil;
  • le naloxégol;
  • les narcotiques analgésiques (par ex. la codéine, le fentanyl, l'oxycodone, le tramadol);
  • le nirmatrelvir et le ritonavir;
  • les œstrogènes (par ex. les œstrogènes conjugués, l'œstradiol, l'éthinylœstradiol);
  • l'ondansétron;
  • l'orlistat;
  • l'oxybate de sodium;
  • le pérampanel;
  • le phénobarbital;
  • le ponésimod;
  • les potentialisateurs du régulateur de la perméabilité transmembranaire de la fibrose kystique (par ex. l'éléxacaftor, l'ivacaftor, le lumacaftor, le tézacaftor);
  • les progestatifs (par ex. le diénogest, la médroxyprogestérone);
  • la propafénone;
  • la quinine;
  • la ranolazine;
  • les remplacements de la thyroïde (par ex. la thyroïde desséchée, la lévothyroxine);
  • la rifabutine;
  • la rifampine;
  • le riociguat;
  • le rivaroxaban;
  • le roflumilast;
  • la romidepsine;
  • les salicylés (par ex. l'acide acétylsalicylique);
  • le sirolimus;
  • la solifénacine;
  • le sucralfate;
  • la sulfadiazine;
  • le sulfaméthoxazole;
  • les suppléments de calcium;
  • les suppléments de multivitamines/minéraux;
  • le tacrolimus;
  • le tamoxifène;
  • le técovirimat;
  • le ténofovir;
  • la thalidomide;
  • les théophyllines (par ex. l'aminophylline, la théophylline);
  • le ticagrélor;
  • le tofacitinib;
  • la toltérodine;
  • le tolvaptan;
  • la trazodone;
  • le triméthoprime;
  • l'upadacitinib;
  • la warfarine;
  • le zolpidem;
  • la zopiclone.

Si vous prenez l'un de ces médicaments, consultez votre médecin ou un pharmacien. Dans votre cas, votre médecin pourrait vous demander de :

  • cesser la prise de l'un des médicaments;
  • remplacer l'un des médicaments par un autre;
  • modifier la manière dont vous prenez l'un des médicaments, ou les deux;
  • ne rien changer du tout.

L'interférence d'un médicament avec un autre n'entraîne pas toujours l'interruption de la prise de l'un d'eux. Demandez à votre médecin quelle est la conduite à tenir en cas d'interactions médicamenteuses.

D'autres médicaments que ceux énumérés précédemment peuvent interagir avec ce médicament. Signalez à votre médecin tout ce que vous prenez, qu'il s'agisse de médicaments sur ordonnance ou en vente libre et de remèdes à base de plantes médicinales. N'oubliez pas de mentionner tout supplément que vous absorbez. Si vous consommez de la caféine, de l'alcool, de la nicotine ou des drogues illicites, vous devriez en avertir votre médecin prescripteur puisque ces substances peuvent modifier l'action de nombreux médicaments.

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